Chez Enjin, notre passion pour le SEO nous conduit tout naturellement à s’interroger sur l’essence même du référencement naturel
Le SEO qui, a traversé le temps, les changements, et les critiques, pour toujours ressurgir, et rester l’un des piliers d’une campagne Web moderne.
Dans cet article, nous vous proposons d’analyser les 10 mythes les plus fréquents sur le SEO :
Long terme, réactivité et dynamisme sont en effet maîtres mots pour ne pas risquer de nuire au site, et perdre une grande part du trafic.
En effet, le SEO a énormément changé à travers les années.
D’un ensemble de techniques, le SEO s’inscrit aujourd’hui dans une réflexion beaucoup plus globale, qui rime avec contenu, recommandations, réseaux sociaux et bases de données.
Le terme d’Inbound Marketing est celui qui symbolise le mieux cette stratégie plus qualitative.
Se démarquer dans sa stratégie, dans son offre, ou par le prix, mais aussi en termes de mots-clés, pour ressortir plus facilement dans les résultats de recherche Google.
Le moteur de recherche de Google, bien que très performant, n’est aujourd’hui pas capable de tout comprendre. Ainsi, un site vendant des chaussures mais ne mentionnant pas une seule fois le mot chaussure, va être quasi-impossible à référencer sur ce mot clé.
– Certains liens externes disparaissent : presse, clients, billets de blog…
– Les nouvelles pages créées ne seront pas référencées.
– Les moteurs de recherche évoluent sans cesse.
– La concurrence vous dépasse et il convient de réagir.
– Certains contenus deviennent obsolètes.
Le Link Building devrait être naturel selon Google, et non artificialisé.
C’est le cas pour un grand Groupe dont les nombreux articles de presse relayés sur le web, constitueront un vivier très qualitatif de liens externes.
C’est beaucoup moins le cas pour une PME, ou un sous-traitant, avec qui il faut parfois redoubler d’efforts pour trouver des opportunités de lien.
Alors quand faut-il créer un lien externe ?
– Avec vos fournisseurs, clients et partenaires.
– Pour tout type d’évènement : salon, congrès ou conférence ou vous avez légitimement un rôle.
– Plus généralement, à chaque fois que vous êtes cités professionnellement, et qu’un lien vers votre site vous semble normal.
En effet, comment être sûr que ce mot-clé générera une conversion maximum ?
Pourquoi ne pas être référencé sur les termes que vous abordez le mieux, et sur lesquels vous connaissez votre force ? La conversion n’en sera que renforcée.
De plus, il est beaucoup plus intéressant d’être référencé sur une multitude de mots-clés longs (appelés long-tail keyword) qui précisent la requête, et sont souvent plus qualitatifs que des mots-clés courts et parfois polysémiques.
Google encourage au contraire les sites web à respecter un certain nombre de règles pour être bien référencé, imposant ainsi une sorte de norme universelle pour qu’un site soit visible.
De la même façon, Google pénalise au contraire les sites qui ne respectent pas certaines règles, ou pratiquent des techniques proches de la manipulation.
Comme expliqué plus haut, il y a plusieurs façons de faire du SEO, des bonnes et des mauvaises.
Bien sûr, Google a comme projet d’étendre ces recherches instantanées à d’autres sujets et à quasi toutes thématiques.
Cependant, nous avons encore besoin des sites web, et de sélectionner les réponses qui nous semblent les plus pertinentes par nous-mêmes.
Le monde n’est donc pas encore prêt de se passer de SEO.
« J’ai entendu dire que répéter 6 fois le mot clé dans un paragraphe fonctionnait »
Ce n’est pas du SEO.
Soyons clair, le SEO est une stratégie de long terme qui s’appuie sur la compréhension des moteurs de recherche, et non pas leur détournement.
– Créez du contenu intéressant.
– Rendez ce contenu populaire et non pas privé.
– Améliorez l’accessibilité de votre site par le design et l’organisation.
– Structurez les informations et ne laissez place à aucune ambiguïté.
– Améliorez la présentation de votre résultat de recherche, et augmentez le taux de clic grâce aux Rich Snippets.
– Optimisez la vitesse de chargement de votre site, car c’est directement lié à l’expérience de l’utilisateur (trop long et il quitte votre site, vous n’avez donc pas de place en première page).
– Augmentez les liens et les mentions pour toucher la bonne audience et driver du trafic.
C’est compréhensible, simple et permet de mesurer le score d’une page par rapport à une autre.
Cela donnait aussi une certaine crédibilité à Google pour montrer la logique de son algorithme à une époque où ils en avaient besoin.
Mais aujourd’hui le PageRank ne représente qu’une des techniques employées par Google pour mesurer la popularité d’une page… parmi 200 autres critères…
D’autres facteurs rendent le PageRank obsolète :
-Les barres d’URL ou autres extensions de navigateurs qui donnent une idée fausse du PageRank d’un site.
-Une analyse basée uniquement sur le PageRank s’avère fausse et se vérifie sur les rankings. Une page avec un PageRank supérieur à une autre ne sera pas forcément devant l’autre pour un mot clé donné. En effet, plus de 200 critères vont déterminer ce classement, le PageRank n’est que l’un d’entre eux.
« L’activité d’une marque sur un réseau social n’a pas d’impact direct sur son référencement. »
C’est par ce message très direct, que Google a fait l’objet d’une mauvaise interprétation.
Cela ne veut pas dire que les conséquences de ce travail sur les réseaux sociaux ne bénéficieront pas au SEO :
– Plus vous partagez de contenu, (et que ce contenu devient viral) et plus le nombre de liens externes va augmenter. Cela aura deux effets directs : du trafic et des republications sur d’autres comptes, des blogs (qui lieront vers le contenu d’origine), des revues en ligne.
Dans tous les cas, cela va faire « parler de vous » et donc bénéficier à votre e-réputation (par les liens, les mentions, les citations) et bénéficiera forcément à votre référencement sur le long terme